les envoûtés critique

Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. Le thème est à la mode qui traverse toute l’œuvre de Kiyoshi Kurosawa ("Le Secret de la chambre noire", "Vers l’autre rive"). 449 abonnés 21 abonnés A tale of missed connections both earthly and ethereal, Pascal Bonitzer’s haunting “Spellbound” starts underground before it creeps upward to the atmosphere and beyond. 2772 abonnés 529 abonnés Lire ses 701 critiques, Suivre son activité Fabrice Leclerc. Les Envoûtés ne se mesure en rien au chef-d’œuvre de Polanski, mais sa mise en scène soignée et sa manière d'opérer tranquillement son glissement progressif vers le fantastique en font un bon petit film de série. Lire ses 1 445 critiques, Suivre son activité Même si nos trois héros paraissent plutôt dans la dèche, ils sont quand même bien représentatifs. Lire ses 25 critiques, Suivre son activité Une jeune journaliste est envoyée dans les Pyrénées interviewer un artiste peintre un peu marginal ayant vu le fantôme de sa mère juste avant la mort de celle-ci. A voir sans hésitation. Film de Pascal Bonitzer avec Sara Giraudeau, Nicolas Duvauchelle, Nicolas Maury : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. Cependant, si certains parviendront également à leur façon à cheminer également à travers ce dédale de sentiments, de rapports humains, il faut reconnaître également un certain manque de clarté afin que l’idée ou le message de Pascal Bonitzer soit parfaitement lisible et évident. Mais ce thème-là, dont je ne suis pas sûr qu’il soit si riche, est mélangé à d’autres qui ne convainquent guère plus : la naissance de l’amour entre Coline et Simon, l’inquiétante beauté des forêts pyrénéennes, etc. Il est donc question ici de fantômes, de personnes qui, à l’heure de leur mort, apparaissent à un proche qui se trouve très éloigné du lieu du décès. Les envoûtés ne change pas la donne avec un synopsis qui donnerait pourtant envie avec une histoire inspirée d'Henry James. Ajouter une critique. Lire ses 382 critiques, Suivre son activité Les envoûtés es una película dirigida por Pascal Bonitzer con Sara Giraudeau, Nicolas Duvauchelle, Nicolas Maury, Anabel Lopez, Iliana Lolic .... Año: 2019. Nicolas Duvauchelle est quant à lui, un personnage ermite et artiste, vivant dans sa montagne profonde aux paysages de brume magnifiques. Alexandre Wetter, Pascale Arbillot, Isabelle Nanty, Avec Il semblerait bien qu'hors le microcosme parisien de soi-disants artistes et du milieu littéraire ou journalistique, il n'y ait point de salut. Critique «Les Envoûtés», l’amour hanté par les morts Par Luc Chessel — 10 décembre 2019 à 18:16. À défaut d’être envoûtante, une réalisation vraiment étonnante et peut-être bien pendant encore un bon moment... Bons acteurs et beaux paysages mais pas trop de frissons pour ce film qui se veut à la limite du fantastique. Here, the regular book reviewer Coline sports a pixie haircut, hired to write the feature of the month for the women’s magazine she contributes to. Le film s'inspire d'un récit de Henry James, qui avait déjà servi de trame à La chambre verte de Truffaut; de mémoire le film de Truffaut était autrement plus profond. James Cameron, avec S'il est beaucoup question de fantômes ( d'une mère, d'un père, d'une amie ), que le spectateur inquiet à l'idée d'ectoplasmes grimaçants se rassure, on n'en voit pas l'ombre d'un. C'est tout de même un peu maigre pour ne pas sombrer dans l'ennui : mou, sans grand intérêt et même agaçant par moments. « Les Envoûtés » pourra certainement conduire à différentes interprétations, tout en laissant indifférent, perplexe ou même passionné ! Les Envoûtés : la critique du film (2019) Les envoûtés d’après Henry James, est une histoire fantomatique d’un genre indéfini, heureusement illuminée par un casting de haut niveau. Il a beau parsemer le film de petits signes censés mettre du trouble dans nos esprits, on a surtout le sentiment d’avoir affaire à un ressort dramatique facile et qui ne sert, en fin de compte, qu’à justifier l’histoire d’amour compliquée qui se joue, comme on s’y attendait, entre les deux protagonistes principaux. Ce drame sur fond de revenants ne m'a pas du tout conquis. © Copyright 2020 Variety Media, LLC, a subsidiary of Penske Business Media, LLC. 2 très bons acteurs mais scénario fade , cela manque d'action , mouvement d'une lenteur monotone , à s'endormir où quitter la salle. Coline (Sara Giraudeau) est parisienne. Son rythme est trop distendu pour soutenir l’intérêt. Chacun y puisera ce qu’il veut, y trouvera sa propre signification ou pas... les envoÛtÉs By Pascal BONITZER SBS INTERNATIONAL - as SALES / DISTR / PROD Préférences cookies | C’est d’autant plus troublant qu’une amie de Coline affirme, elle aussi, avoir fait la même expérience à l’heure de la mort de son père. Lire ses 264 critiques, Suivre son activité Le problème vient du sujet du film qu’on peine à appréhender. Sam Worthington, Zoe Saldana, Contact | "Les Envoûtés" est un film qui, par son travail sur la relation amoureuse, parvient à mettre son spectateur dans la même situation que la protagoniste. Bonitzer dépeint à nouveau, sans talent, un milieu bobo, cette fois dans les Pyrénées. Dès le titre, Les Envoûtés, le doute est bien présent.Difficile de dire dans un premier temps pourquoi parler d’envoutement. Je n'ai pas accroché à la personnalité mélancolique et névrosée de cette jeune Coline (Sara Giraudeau) emportant avec elle le film dans une ambiance psycho-déprimante dans laquelle la petite touche fantastique n'est qu'un faux prétexte à une espèce de soupe fadasse sur la vie, l'amour, la mort. Site www.cinemadourg.free.fr. 1 abonné 49 abonnés Once her train gets stalled, Coline exits, though almost shockingly unfazed, strolling through the streets until a chance encounter taps her on the shoulder. 1 abonné Cette histoire est d'autant plus troublante qu'il est arrivé la même chose à sa meilleure amie dans une laverie de son quartier. Un très très bon film, très bien filmé, avec de magnifiques images et avec de très bons acteurs. Pour ce faire, elle doit rencontrer Simon (Nicolas Duvauchelle), un peintre qui vit en ermite dans les Pyrénées et qui prétend avoir vu le fantôme de sa mère au moment où celle-ci décédait. Critiques sur Les envoûtés (24) Classer par : Date Les plus appréciées 1 2 3. Le résultat est paradoxalement trop pauvre pour nourrir les presque cent minutes que dure le film. (Int'l sales: SBS Int'l, Paris.) Lire sa critique, de 23 abonnés Pour nous ancrer dans cette réflexion, le jeu de Sara Giraudeau en jeune-femme introvertie et réservée, dont le questionnement intérieur la perturbe plus qu’autre chose, est après un début hésitant, de plus en plus convaincant et prenant. 215 abonnés Avec Tout n'est pas raté néanmoins : Nicolas Duvauchelle est très convaincant en ermite des montagnes, les paysages de la frontière franco-espagnole dans le Pays basque sont sublimes, et le twist final plutôt soigné. Clad in a chic trench coat and styled with a noticeably old-fashioned, side-swept up-do, freelance writer Coline (Sara Giraudeau) is about to hear that ever-unpleasant delay announcement in the Paris metro. But through Bruno Coulais’ stringy score — with Handel’s commanding Sarabande, the famous undercurrent of “Barry Lyndon,” thrown in to propel the mood in brooding depths— Bonitzer seizes a similar taste during this backstory segment. Bien que le duo nous séduits par son charisme et sa fragilité, l’énigmatique scénario ne fonctionne pas à tous les instants. Par contre, les personnages, eux bien vivants, n'arrêtent pas de disparaître et réapparaître dans une sorte de sarabande (de Haendel, justement mise en valeur sur la bande son) amoureuse dont les motifs restent imperméables au spectateur et finit par engendrer, en dépit du talent des interprètes, un ennui poli pourtant d'ordinaire absent du cinéma de Bonitzer qui nous avait jusqu'ici habitué à plus de légèreté. Manhattan Vaudou (26 min - 1080i) Philippe Rouyer revient sur Les Envoûtés à travers des commentaires qui pourraient presque composer un intéressant portrait de John Schlesinger. It would only make sense that the two meet and compare notes. Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié, Avec Sachenka 12 juillet 2020: Signaler ce contenu Voir la page de la critique. : Perhaps Bonitzer doesn’t have a profound point to make on the mysteries of afterlife. L' actualité cinéma et les critiques sont sur CinéDweller.com https: ... Les envoûtés : bande-annonce Tempête de bandes-annonces sur le Web. On n'adhère pas forcément au coup de foudre de Coline pour le peintre ténébreux; d'ailleurs cette Coline est parfaitement exaspérante ! But his “Spellbound” — especially when Bonitzer braids his story’s loose ends together and tucks them into a tidy knot — seductively lures one into its tempting obscurity all the same. Lorsque la propriétaire du journal, Leonora (Josian Balasko), propose à Coline de se charger de l’enquête du mois en allant interviewer, au fond des Pyrénées, Simon (Nicolas Duchauvelle), un peintre qui prétend avoir vu le spectre de sa mère défunte, Coline, sceptique, refuse. Lire ses 251 critiques, Suivre son activité S'inscrire avec FB. On s'ennuie ferme dans ce film très long et soporifique. Peut-être aurait-il fallu un peu plus de simplicité dans le propos du réalisateur, qui dans la complexité et la multitude des relations, se dilue un peu trop ?

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