pluviométrie france 2019

Le déficit a dépassé 20 % en Corse, du sud de Rhône-Alpes à la région PACA, de la Sarthe et de l'Orléanais à la région rouennaise, sur le Bas-Rhin, le nord du Finistère et sur le Sud-Ouest ainsi que plus localement du Dijonnais à la Franche-Comté. Déficitaire depuis le début de l'année, la pluviométrie a été fortement excédentaire en octobre et novembre. La température moyenne de 6,7 °C sur la France et sur la saison a été supérieure à la normale de 1,3 °C. En Rhône-Alpes et sur l'est de l'Auvergne, les précipitations ont été plus conformes à la saison mais l'excédent a localement dépassé 20 %. Sur la moitié nord du pays, les passages perturbés ont été assez peu actifs mais se sont souvent accompagnés de neige. Du 18 au 23, les maximales ont été plus de 4 °C au-dessus de la normale sur la moitié nord de l'Hexagone. Suivi; 3. Ce mois d'octobre est parmi les 10 mois d'octobre les plus pluvieux depuis 1959, loin derrière octobre 1960 (+92 %). En moyenne sur la saison et sur la France, la température de 21,7 °C a été supérieure à la normale de 1,7 °C, plaçant 2019 au 3e rang des étés les plus chauds, derrière 2003 (+3,2 °C) et 2018 (+2,0 °C). Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 21,8 °C a été supérieure à la normale de 1,2 °C, classant août 2019 parmi les 10 mois d'août les plus chauds depuis 1900, loin derrière août 2003 (+4,2 °C). Observations mensuelles pour toutes les stations de France et des pays limitrophes. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. Du nord du Massif central aux Pyrénées, le déficit a souvent dépassé 20 %, atteignant 50 % sur les Pyrénées-Atlantiques. Toutefois, sur le mois, le nombre de jours de gel reste inférieur à la normale. Ce mois d'octobre se classe parmi les 10 mois d'octobre les plus chauds depuis 1900, derrière octobre 2013 (+1,9 °C) et loin d'octobre 2006 (+2,6 °C) et d'octobre 2001 (+2,8 °C). Il se place derrière novembre 1996 (188mm), 2000 (176mm) et 2002 (172mm). En moyenne, sur la France et sur la saison, la pluviométrie a été excédentaire de plus de 30 %. L'excédent a dépassé 20 % des Hauts-de-France au Centre-Val de Loire et à la Franche-Comté, voire 30 % le long des frontières du Nord et du Nord-Est. En revanche, le soleil a largement brillé sur les régions méditerranéennes avec un excédent atteignant 20 à 40 %, de l'Hérault au sud des Alpes et à la Côte d'Azur ainsi qu'en Corse et jusqu'à 50 % à Solenzara (Haute-Corse) avec 190 heures. En décembre, les tempêtes Daniel (16 au 17), Elsa (19 au 20) puis Fabien (21 au 23) ont balayé environ 10 % du territoire avec des rafales dépassant 100 km/h. La pluviométrie a été, en moyenne sur la France et sur le mois, conforme à la normale mais géographiquement très contrastée. Avril 2019 a été marqué par des conditions météorologiques très changeantes. Ainsi, à Arles (Bouches-du-Rhône) et à Nice (Alpes-Maritimes), il n'est pas tombé une goutte d'eau durant le mois de mars. De l'Alsace et de la Lorraine au pourtour méditerranéen, les maximales ont été généralement 2 à 3 °C au-dessus des valeurs saisonnières. ... la ville de France où les précipitations sont les plus élevées ne se situe pas en Bretagne. Ce déficit associé aux fortes températures a ainsi contribué à un assèchement important des sols superficiels. Il a été excédentaire de plus de 10 % de la moitié nord de l'Aquitaine et de Midi-Pyrénées au Nord-Est. Hormis en début et toute fin de mois, les températures ont souvent affiché en moyenne 2 à parfois 7 °C de plus que la normale. En moyenne sur l'hiver, l'excédent a souvent dépassé 20 % sur le nord et l'est du pays. Infoclimat, la météo en France en temps réel - Weather in realtime Europe, Canada connexion / inscription ... 2019 mars 2019 avr. En moyenne sur le pays, le déficit pluviométrique a été proche de 20 %. Durant les mois de novembre et décembre, la France a été balayée par une succession de tempêtes et de passages perturbés, souvent accompagnés de précipitations abondantes. La France : Historique Météo. Avec un excédent souvent supérieur à 20 % sur le nord et le centre de l'Hexagone, il a parfois dépassé les valeurs remarquables enregistrées en 2003 et 2018 avec par exemple 834 heures à Paris-Montsouris, 866 heures à Blois (Loir-et-Cher) et 887 heures à Orléans (Loiret). 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Les températures sont restées en moyenne plus élevées que la normale excepté en janvier et en mai. Les passages perturbés qui se sont succédé d'octobre à décembre avec des précipitations très abondantes ont contribué au retour à la normale de la pluviométrie annuelle. Les températures ont été le plus souvent supérieures aux normales hormis en milieu de mois. L'été 2019 a été marqué par deux vagues de chaleur qui ont concerné l'ensemble du pays. Durant l'épisode caniculaire d'une intensité exceptionnelle qui a concerné la France du 21 au 26, elles ont été 4 à 8 °C au-dessus des valeurs saisonnières avec des maximales supérieures aux normales de plus de 10 °C du 23 au 25. De la Lorraine et de la Champagne-Ardenne au Centre-Val de Loire où le déficit a souvent dépassé 80 %, juillet 2019 se classe parmi les mois de juillet les plus secs sur la période 1959-2019, voire le plus sec pour la Meuse, la Meurthe-et-Moselle et le Loir-et-Cher. Deux épisodes de canicule ont concerné la France du 25 au 30 juin, puis du 21 au 26 juillet. Les quantités de pluie relevées ont été abondantes voire exceptionnelles en Aquitaine et en Corse. Des records y ont été enregistrés avec 327 heures de soleil à Caen (Calvados), 338 heures à Paris-Montsouris et à Nantes (Loire-Atlantique), 341 heures à Lorient (Morbihan) ou 351 heures à Orléans (Loiret). Le mois de mai, globalement très frais, s'est achevé avec des températures estivales le 31. Proches des valeurs de saison sur les régions bordant la Manche ainsi que près des Pyrénées, elles ont été en moyenne souvent plus de 1 °C au-dessus du nord de la Nouvelle-Aquitaine à la Bourgogne - Franche-Comté ainsi que sur le nord des Alpes, le long du couloir rhodanien et en Corse. Juillet, Août, Septembre, Octobre, Novembre, Décembre. Douceur et fraîcheur ont alterné tout au long du mois. Le cumul annuel de précipitations a été plus conforme à la normale sur le reste du pays, hormis de la Lorraine au nord de l'Auvergne ainsi qu'en Languedoc-Roussillon où le déficit a souvent atteint 10 à 30 %, voire localement plus sur le Gard et l'Hérault. En moyenne sur la France et sur le mois, le déficit pluviométrique a été proche de 20 %. Les conditions anticycloniques ont été plus fréquentes sur la moitié nord du pays, notamment sur le Nord-Ouest où le temps a été globalement plus doux, plus ensoleillé et plus sec que la normale. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. La pluviométrie a été géographiquement très contrastée. En moyenne, vers 7h il a fait NAN°C et . La majeure partie du pays a bénéficié d'un ciel tout bleu souvent pendant plus de 10 jours. (Cliquer sur les graphiques pour les agrandir), Télécharger le bilan climatique complet de l'année 2019 en pdf (2792,9ko), (Cliquer sur les cartes pour les agrandir), (Cliquer sur les images pour les agrandir). La crue de la Charente a perduré jusqu'en fin d'année. Le soleil a été très peu présent du Sud-Ouest aux frontières du Nord et du Nord-Est. Au cours de l'année hydrologique 2018-2019, le cumul de précipitations a été déficitaire de près de 20 % en moyenne sur la France. En mai, elles ont été inférieures aux normales sur l'ensemble du pays avec de fortes gelées très tardives en début de mois. Déficitaire jusqu'à fin septembre, elle a atteint le dernier trimestre un excédent proche de 60 % avec des pluies très abondantes sur le sud du pays. En moyenne sur la France, la pluviométrie a été déficitaire de plus de 10 %. Suite à un dernier trimestre 2019 très pluvieux, la façade ouest de l'Hexagone, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse ont été bien arrosées avec un excédent de 10 à 40 %, voire localement plus sur la Côte d'Azur. Lors de la tempête Fabien, le 21, on a relevé 141 km/h à Bordeaux (Gironde) et le 22 les vents ont dépassé 120 km/h sur 50 % de la surface de la Corse, avec 205 km/h à Cagnano et 170 km/h à Bastia (Haute-Corse). Les passages perturbés, moins fréquents qu'à l'ordinaire sur le nord-ouest de l'Hexagone, ont été quasi absents sur les régions méditerranéennes avec moins de 20 jours de pluie sur l'ensemble de la saison. Pluviométrie annuelle moyenne Les graphiques ci-dessous permettent de comparer les régimes pluviométriques de 6 secteurs avec une pluviométrie annuelle moyenne. Critère de classement Année de classement Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. Les pluies ont été quasi absentes sur le Sud-Est où le déficit a dépassé 50 %. Ainsi, en Corse, le mois de juillet 2019 se classe au 1er rang des mois de juillet les plus arrosés sur la période 1959-2019. Le déficit a localement dépassé 60 % en Normandie, sur le sud de l'Aquitaine, l'Occitanie, la région PACA, la Corse ainsi que plus généralement sur la région Auvergne - Rhône-Alpes. Les températures sont restées le plus souvent inférieures aux normales. De septembre à décembre, les régions méridionales ont été frappées par de violents épisodes méditerranéens accompagnés de pluies intenses qui ont généré des crues et des inondations localement dévastatrices, notamment dans l'Hérault, le Var, les Alpes-Maritimes et la Corse. En savoir plus sur notre politique de confidentialité. Le déficit, souvent supérieur à 30 %, a parfois dépassé 50 %, notamment en Île-de-France, sur le sud du Centre-Val de Loire, dans l'Aude et en Corse-du-Sud. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. La tempête Amélie a soufflé violemment le 2 sur le Nord-Ouest, puis le 3 sur le littoral atlantique et la moitié sud du pays. Généralement très douces jusqu'au 17, les températures ont ensuite été plus contrastées avec parfois de fortes amplitudes thermiques entre les minimales et les maximales. L'ensoleillement a été excédentaire de plus de 20 % excepté près des Pyrénées, sur le Sud-Est et la Corse où il a été plus conforme à la saison. L'ensoleillement a été contrasté durant l'hiver excepté sur les régions méditerranéennes où le soleil a été généreux tout au long de la saison. Le 3 novembre, la première tempête hivernale Amélie a principalement frappé un large quart sud-ouest de la France, avec 7 % de la surface nationale impactée par des vents supérieurs à 100 km/h. Des épisodes méditerranéens ont affecté les régions méridionales les 2 et 3 puis du 22 au 24. Par ailleurs, la saison s'est achevée avec des températures maximales exceptionnellement élevées à partir de mi-février, en moyenne 5 à 10 °C au-dessus de la normale et dépassant souvent 20 °C dans le Sud-Ouest. Tableau détaillant les températures, les précipitations, le vent, l'ensoleillement ainsi que la pression Les cumuls de pluie ont dépassé la normale sur la quasi-totalité du pays à l'exception du Haut-Rhin, du nord de la Corse et du nord du Languedoc. 10 Janvier 2019 ... Sécheresse. Découvrez la page 2 du classement 2019 des départements les plus pluvieux de France. 2019 mai 2019 juin 2019 juil. Sur le reste du pays, il a été globalement déficitaire en décembre et janvier, mais exceptionnel en février avec un excédent supérieur à 40 % et de nombreux records battus, notamment sur la moitié nord. Le déficit a souvent dépassé 30 % du Centre-Val de Loire à l'Auvergne et en Corse et 50 % sur le sud du Massif central et le pourtour méditerranéen. Le cumul de pluie a été plus conforme à la saison, voire localement excédentaire sur l'ouest des Hauts-de-France, le Cotentin, de la pointe bretonne aux Charentes, des Pyrénées-Orientales à la Montagne Noire ainsi que sur le littoral provençal, la Côte d'Azur et ponctuellement sur l'est de l'île de Beauté. Durant ce mois de décembre, le temps a été agité et souvent perturbé. Sur les régions méridionales, les pluies ont été peu fréquentes et peu abondantes, voire quasi absentes sur le pourtour méditerranéen et le sud de la Corse. Sur le sud du pays, la pluviométrie a été plus hétérogène. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été déficitaire de 40 %. Seule la Corse a présenté un net déficit, de plus de 50 % en Corse-du-Sud. Des gelées tardives exceptionnelles se sont produites lors d'un pic de fraîcheur du 4 au 7 et des records de températures minimales basses ont été enregistrés. Les perturbations ont été peu fréquentes. 21,0 le 31: 26,1 le 19: Les 13 et 14, la France a connu un pic de douceur avec en moyenne 5 à 6 °C de plus que la normale. L'ensoleillement, conforme à la saison de la Haute-Normandie au Nord - Pas-de-Calais, a été excédentaire sur le reste de l'Hexagone, généralement de 20 à 30 %. Le déficit qui a atteint 50 % sur la région PACA a dépassé 70 % sur les Alpes-Maritimes et 90 % sur le Var et la Corse. L'ensoleillement a été déficitaire sur la majeure partie du pays. Des records de cumuls de pluie ont été battus tous mois confondus avec notamment 246,4 mm à Lanvéoc (Finistère - ouvert en 1948), 284,3 mm à Ajaccio (Corse-du-Sud - ouvert en 1949), 531,5 mm à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques - ouvert en 1964) et 534 mm à Saint-Martin-de-Hinx (Landes - ouvert en 1984). Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. Bilan global de l'année hydrologique (septembre 2018 à août 2019) Au cours de cette année hydrologique 2018-2019, le cumul de précipitations a été déficitaire de près de 20 % en moyenne sur la France. Après une période de douceur du 15 au 25, le mercure a de nouveau chuté en dessous des valeurs de saison. Les cumuls ont atteint une fois et demie à deux fois la normale, de la Basse-Normandie au nord des Pays de la Loire et à la Bretagne et une fois et demie à trois fois sur le Languedoc-Roussillon, les Cévennes et la région PACA. L'été 2019 a été marqué par deux vagues de chaleur qui ont concerné l'ensemble du pays. Le Gers n’a pas été épargné par les changements de temps durant les deux derniers mois de l’année 2019. Avec une température moyenne de 29,4 °C sur le pays, le 25 juillet a été la journée la plus chaude enregistrée en France, ex æquo avec le 5 août 2003. Cinq tempêtes ont touché notre pays, plus ou moins violentes et étendues. Eau et milieux aquatiques. 2019 mars 2019 avr. Un déficit globalement compris entre 10 et 20% sur ces régions, localement jusqu'à 30% entre Alsace, Lorraine et Franche-Comté. L'épisode venteux le plus violent a été l'épisode du 12 au 14 décembre, considéré comme tempête forte (vigilance rouge pluie-inondation). Des perturbations actives et parfois tempétueuses se sont succédé sur une grande partie du pays, épargnant toutefois le Sud-Est. La pluviométrie a dépassé deux à trois fois la normale sur le Sud-Ouest, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et sur la Corse-du-Sud. Des records de pluviométrie battus. Comprendre Tout savoir sur la météo, le climat et Météo-France, Télécharger nos bulletins climatiques quotidiens et mensuels. Sur ces régions, l'excédent a souvent dépassé 20 %. Ils ont été plus proches de la normale sur le reste du pays, voire ponctuellement excédentaires sur le Nord-Est et la Côte d'Azur. connexion / inscription ... 2019 fev. Ils ont été moins nombreux mais particulièrement intenses sur le pourtour méditerranéen. En revanche, à la faveur de l'ensoleillement exceptionnel, la France a connu un pic de douceur hivernale historique en seconde partie de mois. Ainsi du 25 au 30 juin, la canicule a été remarquablement précoce et le nouveau record absolu en France métropolitaine a été enregistré le 28 avec 46 °C en Occitanie. Critère de classement Année de classement Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. Les gelées ont été très rares tant en plaine qu'en altitude. Ainsi, les précipitations ont été globalement déficitaires de la frontière belge à la Normandie et à l'ouest de l'Auvergne ainsi que plus localement sur les Pyrénées-Atlantiques, de l'Ariège à l'Hérault, sur le nord des Alpes et l'est de la Corse. Été météorologique : Juin - Juillet - Août L'été 2019 au 3 e rang des étés les plus chaud. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été déficitaire de plus de 30 %. Dans un flux souvent de sud, la douceur a prédominé durant la quasi-totalité du mois d'octobre. Sur le reste du pays, elles ont été généralement 1 à 2 °C au-dessus des valeurs de saison, voire localement plus sur l'ouest de la Corse où des records de douceur ont été enregistrés avec une moyenne mensuelle voisine de 23 °C. Il a même atteint 50 % à Solenzara (Haute-Corse) avec 283 heures de soleil. 2019 mars 2019 avr. Ces archives Météo sont totalement libres d'accès et gratuites. De la Haute-Loire au Rhône, on a souvent recueilli sous les orages une fois et demie à deux fois la normale, ponctuellement deux à trois fois. L'excédent qui a dépassé 10 % de la frontière belge aux Pays de la Loire ainsi que sur la côte orientale de l'île de Beauté a atteint 20 à 30 % de la Normandie au Bassin parisien. La température a été en moyenne plus de 2 °C au-dessus de la normale en décembre et en février. Tous les mois, décembre 2018 excepté, ont connu des cumuls de pluie inférieurs à la normale. Par ailleurs, sur la période novembre-décembre, les vents forts se sont accompagnés de pluies fréquentes et souvent abondantes avec des cumuls généralement excédentaires de plus 50 %. On a ainsi enregistré 223 heures de soleil à Caen (Calvados) mais 211 heures à Nice (Alpes-Maritimes) et seulement 144 heures à Tarbes (Hautes-Pyrénées). On a souvent recueilli une fois et demie à deux fois et demie la normale à l'est du Rhône, le long des Pyrénées ainsi que sur le Massif central voire localement près de trois fois la normale en région PACA avec 280 mm à Cannes (Alpes-Maritimes). La tempête Amélie qui a balayé la moitié sud du pays le 3 novembre a été d'une intensité assez remarquable pour un mois de novembre. La pluviométrie a été déficitaire de plus de 30 % sur la majeure partie du territoire. Le nombre de jours de gel est partout inférieur à la normale. De la Nouvelle-Aquitaine aux Hauts-de-France, les cumuls mensuels ont souvent atteint une fois et demie la normale, voire localement plus de deux fois notamment sur la Bretagne. Et Lille n'arrive qu'en vingtième position. Il a été plus conforme à la saison sur la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse. Les passages pluvieux ont été plus fréquents que la normale sur une grande moitié nord du pays ainsi que sur le sud de l'Aquitaine. Le déficit a même dépassé 60 % du nord de la Dordogne à l'ouest de la Côte-d'Or et souvent 80 % dans le Sud-Est. Les conditions anticycloniques ne se sont jamais installées plus de trois jours consécutifs. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 13,9 °C a été inférieure à la normale de 1,1 °C. Répartition spatiale; 2. Les chiffres suivants proviennent des données météorologiques nationales en libre accès, fournies par Météo France, pour le département de la Creuse (pour l'année 2018).Ces données représentent une moyenne pour le département, elles peuvent varier sensiblement selon les reliefs (différence nord-sud pour la Creuse, par exemple). Les 17 et 19, les maximales ont été par endroits plus de 10 °C au-dessus des valeurs de saison de Rhône-Alpes et de l'Allier à la Lorraine. Les températures sont restées supérieures aux normales la majeure partie du mois. La pluviométrie a été proche de la normale en moyenne sur la France et sur l'année mais très contrastée. Du 26 au 28, les maximales ont atteint des valeurs souvent records, dépassant 20 °C sur l'ensemble du pays, soit plus de 10 °C au-dessus des normales. La pluviométrie, proche de la normale* le long des frontières du Nord, ainsi que sur le Sud-Ouest et le nord des Alpes, a été déficitaire sur le reste du pays. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. Il a été généralement conforme à la saison sur le reste du pays. Les villes les plus pluvieuses de France en 2019. Sur le mois et sur le pays, la température moyenne de 8 °C a été supérieure à la normale de 2,2 °C. Bulletin de situation hydrologique de janvier 2019. Ainsi, l'été 2019 s'est classé au 3e rang des plus chauds derrière 2003 et 2018. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été proche de la normale. Parc Astérix en Île-de-France en juin 2019. Après un épisode froid en début de mois, les températures ont été douces et contrastées avec des minimales conformes aux valeurs de saison mais des maximales printanières à partir du 14 février. En seconde partie de mois, plusieurs épisodes méditerranéens ont affecté les régions méridionales dont un particulièrement intense du 19 au 24 avec des pluies diluviennes sur le Languedoc-Roussillon les 22 et 23 (lien vers actu du 25 octobre). En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été excédentaire de près 40 %. En revanche, après un mois de mars très sec, plusieurs épisodes pluvieux intenses et parfois orageux ont concerné les régions méridionales où les températures ont été à peine de saison. Tous les mois, décembre 2018 excepté, ont connu des cumuls de pluie inférieurs à la normale. maxi extrême: 13,1 le 31: 25,7 le 27: 22,6 le 23: 24,6 le 19: 28,3 le 31: Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. 2019 août 2019 sept. 2019 oct. 2019 nov. 2019 dec. 2019 Année complète; Tempé. En revanche, suite aux précipitations abondantes en tout début de mois, la pluviométrie a été excédentaire en moyenne vallée du Rhône, dans les Hauts-de-France ainsi que sur les Alpes-Maritimes et l'ouest de la Corse. Graphique Météo-France En mai, dans l'air froid dominant, plusieurs épisodes de neige tardive se sont produits en altitude sur les massifs jusqu'en toute fin de mois. Seuls l'est de la Lorraine, le Bas-Rhin et le sud du Languedoc-Roussillon ont présenté un déficit de 20 à localement 80 %. Toutefois, elles ont été déficitaires de plus de 30 % sur la Bretagne. Elles ont été assez courtes à l'échelle de la France (6 jours) mais exceptionnelles par leur intensité. Le soleil a brillé autant à Dinard (Ille-et-Vilaine) avec 240 heures qu'à Nice (Alpes-Maritimes) avec 237 heures. À l'inverse, sur le sud de la Bretagne et de Midi-Pyrénées, ainsi que sur le Haut-Rhin, les cumuls de pluie ont atteint une à localement deux fois la normale. L'été 2019 a été marqué par deux vagues de chaleur assez courtes (6 jours) mais d'une intensité record pour un mois de juin pour la première et record tous mois confondus ex æquo avec celle d'août 2003 pour la seconde. En revanche, l'ensoleillement a été plus conforme à la saison sur la côte atlantique et le Sud-Ouest où les nuages ont été très présents en décembre et janvier. Et les chiffres de la pluviométrie fournis par Météo France sont là pour le confirmer. De plus, le nouveau record absolu de chaleur pour la France a été mesuré avec 46 °C le 28 juin à Vérargues (Hérault) dans le Sud-Est. En moyenne sur le mois et sur le pays, la température maximale a dépassé la normale de 4,1 °C plaçant ce mois de février au second rang derrière février 1990 (+4,8 °C). Les précipitations ont été plus conformes à la saison sur la façade ouest, mais excédentaires sur la Bretagne et le sud de l'Aquitaine. En Corse, la pluviométrie a atteint une fois et demie à localement trois fois la normale sur la majeure partie de l'île. Malgré un épisode de fraîcheur assez marqué du 5 au 10, la douceur a prédominé avec des températures quasi estivales en journée sur une grande partie du pays du 12 au 21. On s'en doutait ! Ainsi, des Landes au Pays basque et aux Pyrénées centrales, l'excédent a généralement atteint 40 à 60 %, avec des cumuls mensuels supérieurs à 100 mm. Généreux en septembre, le soleil a ensuite été peu présent, notamment sur la moitié ouest du pays. Les températures moyennes ont été supérieures à la normale de 2 à 4 °C sur la quasi-totalité du pays. Infoclimat, la météo en France en temps réel - Weather in realtime Europe, Canada. En moyenne, sur la France et sur la saison, la pluviométrie a été déficitaire de près de 20 %. Vous souhaitez connaître le temps qu'il faisait un jour ou un mois dans un pays en France ? L'ensoleillement a été proche de la normale sur le Sud-Ouest, du Languedoc-Roussillon aux Alpes ainsi que sur le nord du littoral atlantique. Localement, on a enregistré un déficit de 10 à 25 %, de la baie de Somme à l'ouest de l'Oise et à l'agglomération rouennaise ainsi que sur la région de Brest (Finistère). En revanche, les pluies ont souvent été excédentaires de plus de 30 % en Provence-Alpes-Côte d'Azur, en Aquitaine, en Alsace, du nord de l'Hérault aux Cévennes et plus ponctuellement sur les côtes du Roussillon et le sud-ouest de la Corse. Les températures ont été en moyenne proches des valeurs de saison excepté des Pyrénées au Massif central, sur les Alpes, la Corse et plus localement en Bourgogne où elles ont été 1 à 3 °C en dessous des normales. Malgré quelques épisodes de fraîcheur assez marquée, la douceur a dominé durant cet automne. La température moyenne sur le mois, proche de la normale sur la façade ouest du pays, a été 2 à 4 °C au-dessus sur la moitié est de l'Hexagone et en Corse. L'excédent a souvent atteint une fois et demie à deux fois la normale sur les Pyrénées-Orientales, l'Aude et la région PACA et a souvent dépassé cinq fois la normale sur l'île de Beauté. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 18,5 °C a été supérieure à la normale de 1,2 °C. Sur le sud du pays, les températures souvent très fraîches la nuit, ont grimpé en journée à la faveur d'un bel ensoleillement. En revanche, du 7 au 21, les températures ont été froides, en moyenne 1 à ponctuellement 4 °C en dessous des valeurs de saison avec de fréquentes gelées sur le Nord-Est. La sécheresse est désormais officiellement terminée sur le pays. De nombreux records absolus ont été battus sur l'ensemble du pays. La pluviométrie a été très contrastée. Précipitations. En moyenne sur le mois et sur le pays, la température de 4,6 °C a été inférieure à la normale de 0,3 °C. Les températures minimales sont restées douces, en moyenne supérieures à la normale de 2 °C. Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. Les températures moyennes, proches des normales sur la façade ouest, ont été 1 à 3 °C au-dessus des normales sur le reste du pays. L'excédent a atteint 20 à 30 % ponctuellement dans le Grand-Est et en Bourgogne - Franche-Comté et plus généralement sur le sud de l'Auvergne. En revanche, de l'Occitanie au Grand-Est les pluies ont été déficitaires de 20 à 40 %. À partir du 20, les conditions anticycloniques ont dominé jusqu'à la fin du mois favorisant un bel ensoleillement sur la plupart des régions. Durant la première quinzaine, le temps a été assez frais et perturbé sur une grande partie de la France. L'année 2018 avait déjà été marquée par une sécheresse sévère à l'automne. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 15,1 °C a été supérieure à la normale de 1,6 °C. Les précipitations ont souvent atteint une fois et demie à deux fois la normale du Cotentin au Pays basque et ont localement dépassé deux fois la normale sur la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sur les Alpes-Maritimes, avec un cumul mensuel moyen supérieur à 180 mm, l'excédent a dépassé 70 %. En moyenne, elles ont été plus de 1 °C au-dessus de la normale sur la majeure partie du territoire, voire souvent plus de 2 °C du Nord-Est au Massif central. Durant ce mois de novembre, le temps a été très perturbé. Février 2019 a été peu arrosé pour la saison avec des précipitations déficitaires sur la quasi-totalité du pays. Sur la moitié nord en revanche où les nuages ont dominé, les minimales ont été le plus souvent supérieures aux normales. Hauteur des précipitations (en mm) en 2019. Ils ont souvent été violents s'accompagnant de, 2019 : au 3e rang des années les plus chaudes en France depuis le début du XXe siècle, Événements météorologiques majeurs de l'année 2019, Hiver 2018-2019 : bilan de l'enneigement dans les massifs français, Projections climatiques : passer du global au local, Impacts du changement climatique sur les phénomènes hydrométéorologiques, Mieux comprendre les phénomènes atmosphériques. Suite à la succession de passages perturbés souvent actifs jusqu'au 18, les précipitations ont été souvent conformes à la saison sur le nord du pays, voire localement excédentaires, des Hauts-de-France au Centre-Val de Loire et au Grand-Est ainsi que sur le Jura. Le soleil a été un peu plus généreux le long des côtes de la Manche, sur le piémont pyrénéen ainsi que du Pays nantais à la Vendée avec un excédent compris entre 10 et 20 %. Sur la moitié nord de l'Hexagone, l'excédent a atteint 30 à 50 %, voire dépassé 50 %, de la Basse-Normandie et de la Bretagne à la région parisienne. Les températures moyennes, parfois géographiquement contrastées, ont été le plus souvent supérieures aux normales hormis en toute fin de mois. Accompagnant le déficit de précipitations et les températures caniculaires, la sécheresse a persisté au cours de l'été 2019 atteignant des valeurs records dans le centre de la France. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 8,8 °C a été supérieure à la normale de 0,3 °C. En moyenne sur le mois et sur le pays, la pluviométrie a été excédentaire de près de 50 %. Le déficit a souvent dépassé 30 % du Centre-Val de Loire à l'Auvergne et en Corse et 50 % sur le sud du Massif central et le pourtour méditerranéen. METEO FRANCE - Retrouvez des informations sur le climat en France par Météo-France : températures, ensoleillement et pluviométrie des derniers jours aux 10 dernières années 2019 s'est caractérisée par un soleil généreux et la prédominance de la douceur tout au long de l'année avec deux vagues de chaleur d'une intensité exceptionnelle durant l'été. Hormis une période de fraîcheur assez marquée durant le mois de novembre, les températures sont le plus souvent restées supérieures aux normales.

Progression Annuelle Français 6ème 2018 2019, Je Suis Une Légende Nominations, Bruges Population 2020, Conseil Général De Lisère Organigramme, Meuble à Pupitre Mots Fléchés,